Wednesday, July 21, 2021

Marc Bailly La Belgique imaginaire, tome 1 pdf

La Belgique imaginaire, tome 1

Marc Bailly / Récits


La Belgique imaginaire, tome 1

Marc Bailly La Belgique imaginaire, tome 1 pdf - La Belgique imaginaire, tome 1 par Marc Bailly ont été vendues pour chaque exemplaire. Le livre publié par Academia. Il contient 204 pages et classé dans le genre Récits. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3.75 des lecteurs 2. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.

Détails de La Belgique imaginaire, tome 1

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Titre du livre : La Belgique imaginaire, tome 1

Auteur : Marc Bailly

ISBN-10 : 2806102588

Date de sortie : 04/01/2016

Catégorie : Récits

Nom de fichier : la-belgique-imaginaire-tome-1.pdf

Taille du fichier : 18.47 (La vitesse du serveur actuel est 18.64 Mbps

Marc Bailly La Belgique imaginaire, tome 1 pdf - 34 auteurs au total. Des plumes bien connues, d’autres qui éclosent sur la nouvelle scène littéraire. Tous ces écrivains ont un point commun : leur « Imaginaire ». Ils parlent de leur pays ou d’ailleurs dans le monde. Qu’importe car ils véhiculent une ambiance de fantastique, de fantasy, de surréalisme, d’exotisme, de merveilleux, de thriller... Ils sont des auteurs d’aujourd’hui, ceux de la relève de l’Imaginaire belge, des enthousiastes de la plume ...

Catégories : Récits


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Vous trouverez ci-dessous les commentaires du lecteur après avoir lu La Belgique imaginaire, tome 1. Vous pouvez considérer pour votre référence.
L'imaginaire est riche de recueils de nouvelles de différents auteurs, c'est sans doute parce que le «genre» est une communauté en soi, à laquelle les lecteurs et les auteurs adhèrent. Ce livre-ci présente toutefois sa touche belge. Si on pense à d'autres anthologies (La Belgique fantastique de Baronian, La Belgique de l'étrange d'Eric Lysøe, …) il n'est pas précurseur mais il se marque bien par son époque, celle de la post mondialisation. Le recueil présente 20 nouvelles d'auteurs différents suivies d'un essai conclusion sur «la Belgique imaginée». Chaque auteur est introduit par une courte biographie et une bibliographie. À terme, il y aura trois tomes sur quelques 35 auteursOn ne peut parler de ce livre sans parler de la mise en page. Le texte des nouvelles est fort condensé si bien que les 288 pages correspondent plutôt à 350 pages voire plus. C'est lisible mais cela marque le lecteur lambda qui se demande si le rabotage du nombre de pages éditées était si nécessaire à la production. C'est d'autant plus regrettable que souvent la nouvelle exige une concentration plus forte qu'un livre, donc le minimum serait aussi d'épargner aussi les yeux. Je ne vais pas faire des résumés des histoires courtes car cela livrerait le livre à la presse purée (qui a dit frites ?). Pour chaque nouvelle, je vais citer l'auteur et le titre, juste faire un, des commentaire(s) et parfois une ou des citations.1) Nicolas Ancion, «Comme une fusée sans jambes» : Une boîte de pralines sans mode d'emploi, comme une mise en bouche habile. «Le président de la confédération lui même avoua un beau soir qu'il avait été dérobé dans une fabrique de chocolat où il travaillait comme gardien de nuit.»2) Jean-Baptiste Baronian, «Le livre rouge» : Une nouvelle délavée comme on se dénude à l'échafaud, à l'inspiration qu'on trouve comme une place pour se garer.«C'était un parfum que j'aurais été incapable de définir mais, chose bizarre, il n'était pas agréable du tout. Cela m'a surpris. À moins que ce ne fût le remugle de la boutique, du capharnaüm.»3) Véronique Biefnot, «Une vie nouvelle» : Une cousine des Fleurs pour Algernon mais dont j'ai trouvé le fondement scientifique critiquable.«Hokatoe, échevelé, habillé à la diable, semblait en permanence habité d'une fièvre qui dilatait les pupilles, donnant à son regard l'hébétude d'un oiseau de nuit égaré au matin.» «Nigel, visiblement satisfait de mon enthousiasme, m'expliqua que son procédé n'altérait pas la mémoire à long terme, se concentrant uniquement sur la mémoire cellulaire.»4) Christophe Collins, «Une Histoire sainte» : fruit du symptôme du cerveau trop cuit, j'ai ri bien des fois. On aurait pu l'appeler: « Itinéraire d'un dé à coudre pas piqué des hannetons».5) Christo Datso, « Brouillages» : Lynch et Dick se rencontrent.«… la société globalisée dans laquelle l'individu ne représentait plus qu'une quantité statistique marginale échappait à l'entendement …»«J'aurais beaucoup donné pour une publicité, …»6) Serge Delsemme, «Le cycle de l'eau» : Encore ce peuple en harmonie avec les sphères supérieures (voir Valérian dernièrement) mais une langue certaine, une version de la drache nationale comme je n'en ai jamais vue. «Dans ces moments là on fixe le monde comme on verrait un dieu déchu (…)»7) Ambre Dubois, « Laylat» : Le récit m'a fait penser à ma lecture récente de la louve d'Irlande, texte assez moyen. «Aujourd'hui, si je ne suis plus qu'une vieille femme desséchée, c'est parce que les femmes souffrent dans le monde»8) Pierre Efratas, «Aazam le Magnifique» : Astiquez mais faites gaffe au poil à gratter.«… et passé une palanquée de soirées à l'opéra de la Monnaie, aux revues de la Gaîté et aussi chez Milou - rien à voir avec le célèbre chien qui naîtrait plus tard, même si cette opulente commerçante et ses filles étaient capables de prendre la pose pour des échanges fructueux.»9) Gudule, «Le baiser du désert» : La clepsydre aux formes chaloupées en vases communicants, on trouve des profondeurs étonnantes sous les dunes du désert. «Il s'était déguisé en ange ! Dans son dos bringuebalaient des ailes de pacotille, en plumes de poulet.» 10) Christophe Kauffman, «Billet à gratter» : Blade gratteur, la vérité est une démangeaison qui vous colle à la peau. «L'idée de se retrouver seul dans un caisson de dix-sept mètres carrés uniquement éclairé par la simulation de fenêtre low cost déréglée depuis presque deux ans lui donnait parfois des crises d'angoisse qui lui laissaient le souffle court pendant des journées entières.» 11) Frédéric Livyns, «Le tableau» : La projection marche toujours.12) Adriana Lorusso, «La clef du bonheur» : Si vrai pour tous les parents. 13) Jacques Mercier, «À droite de Mars» : Seul dans l'espace version pour ambidextre du fil rouge et du vert. 14) Nadine Monfils, «Ginette de Gembloux» : Le baraki est un «survivor».«Ils te plantent là comme un céleri pourri, après avoir ramoné ta vertu que t'en as de la suie jusqu'aux orteils.»15) Mythic, «Hiii, j'ai épousé une fée» : Regardez bien au coin de la rue la prochaine fois. «Elle se hissa sur le tabouret haut, déposa à coté de sa tasse fumante une baguette terminée par une étoile, se déchaussa et se massa les pieds.»16) Frank Roger, «Bibliopolis» : Du Borges même pas déguisé, je ne connaissais pas le terme Samizdat. 17) Michel Rozenberg, «Alternances»: Je ne savais pas que l'éditeur était aussi le créateur du prix Masterton. La longueur joue pour cette nouvelle comme une horreur qui déborde même si on a parfois l'impression d'avoir deux récits dont l'un (celui avec le policier) frise le pastiche risible. «Le fameux principe de cohérence le poussait à continuer ici et maintenant.»«À présent, il remarqua (sic) la pancarte accrochée autour de son cou. Ses yeux effrayés se posèrent sur l'inscription: «tueur d'enfants».»18) Marc van Buggenhout, «Le cercueil» : Du mal avec le mélange de véhicule anti-grav et véhiculés par l'anti-matière, véhicule intergénérationnel et caisson de stase qu'on met à la casse. Les personnages ne sonnent pas justes mais l'AI et sa singularité prennent un coup de vieux. 19) Dominique Warfa, «Paysage de grève avec chute d'un homme.» : Un peu nostalgique, un peu verbeux mais le fantasme de pas mal d'amateurs de SF situé dans les fagnes belges (la différence entre l'astronaute pulpeuse et le poulpe savant qui vous emmène faire un tour dans le ciel étant encore soumise au principe d'incertitude).«… lorsque je tentais de le convaincre que la constitution lente d'une bibliothèque constitue un acte créatif …» 20) Ouri Wesoly, «Comment gagner plus qu'un réparateur de dômes.» : une nouvelle féministe qui est une métaphore sur l'ouverture intégrale.«Une poubelle qui dit merci quand on lui jette une ordure.» (Une femme qui parle de son esprit et de sa vie)21) Bruno Peeters, «La Belgique imaginée» : un essai synthétique et néanmoins au coeur du sujet, une analyse pertinente. On croise Maurice Maeterlinck, la légende d'Ulenspiegel, les éditions Marabouts (dont les publications d'Henri Vernes).«La civilisation mondiale du XXI siècle a englouti les nationalismes. En cela, elle participe d'un fond universel qui a toujours engendré la floraison de l'Imaginaire depuis les mythologies ancestrales: les thèmes sont à la disposition de tous. » Il faut bien dire que les nouvelles sont inégales même si plusieurs thèmes les recoupent: le monde arabe, les livres et une certaine bibliophilie quasi sacrée, la maison isolée (ou la solitude moderne plus généralement), l'enfant,… L'humour est présent dans quasi toutes sous une forme ou une autre. Certaines nouvelles valent 4 étoiles comme celle de Serge Delsemme et d'autres deux comme celle de Frank Roger. Mes préférées sont: «Le cycle de l'eau, le baiser du désert, Billet à gratter et Hiii !, j'ai épousé une fée». Différents éclats, des géantes et des naines, parfois des souffles qui portent loin, longtemps, on peut parcourir les nouvelles de ce livre comme on fouille les étoiles.Le deuxième tome vient d'être publié début 2017, on y retrouve des auteurs du premier tome (ex: Baronian, Warfa, Mythic, … ) et de «nouveaux» dont entre autres: Alain Dartevelle, Alain le Bussy et Dominique Leruth,… Ce premier tome m'a d'ailleurs rappelé que je dois toujours lire «Une brève histoire de la science-fiction belge francophone et autres essais» de Warfa. + Lire la suite

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